Moulin tour édifié sous Louis XV le Bien-Aimé, ce moulin deviendra célèbre à la Belle-Epoque sous le nom de " moulin de la Galette " avec un café-restaurant installé dans la maison du meunier.
Il fut alors affublé d'ailes métalliques fixes, d'un toit immobile largement débordant et d'une galerie circulaire.
Installé sur des carrières de gypse qui se dégradaient, il se serait écroulé si une association présidée par Aimé Massy n'avait pas œuvré pour le reconstruire à proximité sur un sol stabilisé.
Aujourd'hui, il a été entièrement refait avec des ailes Berton, toujours capable de traiter 100 kg de blé à l'heure.
Le 6 octobre on a visité le moulin, il m'a paru bizarre car le meunier nous a dit qu'il pouvait tourner le toit et Enzo Aboubacar Rebecca Amel Wendy et Erwan l'ont tourné.
J'ai appris que pour fabriquer de la farine il faut mettre du blé dans la trémie et il faut que les ailes tournent. Le meunier nous a dit que le mieux c'est un vent de 30 km heure puis la meule tournante va tourner puis ça va écraser le blé sur la meule gisante. Le blé va ensuite descendre dans la bluterie qui va séparer la farine et le son.
Rayan
Jeudi 6 octobre, on est allés visiter le moulin de Sempin à Montfermeil. Ce moulin fait 135 mètres et son toit pèse 15 tonnes. Pour savoir dans quelle direction souffle le vent, on a une girouette sur le toit qui nous indique la direction du vent. Quand on connait la direction du vent, on utilise le guivre pour faire tourner le toit et déplier les ailes on utilise une sorte de bâton pour faire tourner le truc et au fur et à mesure les ailes se déplient. Il faut au moins un vent de 15 km/h pour faire tourner les ailes.
On est rentrés dans le moulin, on est montés au 3ème étage puis il nous a expliqué qu'il y avait deux meules : la meule qui ne bouge pas s'appelle la meule gisante et celle qui tourne s'appelle la meule tournante.
Au début on met les 100 kg de blé dans la trémie grâce à une sorte d’ascenseur puis le blé entre dans les meules puisque l'une ne tourne pas et que l'autre tourne ça permet qu'il soit broyé.
Puis on est descendus au 2ème étage, il y avait un filtre pour séparer le son et la farine puis le son ira dans un sac et la farine dans la huche.
On a aussi vu un film qui nous expliquait comment avant on coupait du blé, comment avant on plantait du blé, comment avant on faisait du pain...
On a aussi vu le lit de l’apprenti meunier. Ils nous ont dit qu'il y avait plus de 120 sortes de blé et en France on en a 48 et ils nous ont aussi dit qu'on était les 3èmes en fabricant de farine.
Je dis un énorme MERCI pour la maîtresse et pour ceux qui nous ont expliqué ça.
Dieu-Linh
Pour fabriquer de la farine il faut du blé. Pour indiquer le vent il faut une girouette. Il faut tourner le toit face au vent pour que les ailes tournent. Le blé va tomber entre la meule tournante et la meule gisante qui ne bouge pas. La meule gisante va frotter le blé et la farine va sortir du son. Pour amener le blé il y a un petit ascenseur qui l'emmène. Le sac pèse 100kg. Pour prévenir le meunier une cloche sonne. Le meunier doit mettre un sac de blé toutes les heures. La farine et le son tombent dans le bluterie qui sépare le son de la farine. Après,la farine tombe dans la huche.
J'ai bien aimé la sortie.
Nathan
Et ça tourne ça tourne...
On met 100 kg de blé dans la trémie par un ascenseur à blé. Le blé qui est dans la trémie va dans les meules il y a une tournante et une gisante. Les deux meules se frottent avec le blé et ça devient de la farine et du son. Après ça passe au 2ème étage où il y a le tamis ; tout tombe dans le tamis et la farine se sépare du son. Et au 1er étage le son tombe dans un sac et la farine dans la huche. Après on est allés dans une salle et on a regardé un film et on a appris comment faire du pain.
Merci
Charlène